Le miroir aux alouettes
Un film de Amalia Escriva
Des bois de sapins noirs, une maison forte avec une tour : Folgoux. Des êtres qui se ressemblent y vivent, génération après génération. Cette maison, c’est celle de la famille de mon père qui n’est plus vivant.
A Folgoux, on vit dans un monde si éduqué que personne ne crie jamais sauf au-dedans de lui-même, et là, ça hurle.
Cinéma du réel 2010 – Section « Panorama Français »
Traces de vie 2010
Escales Documentaires – compétition internationale 2010
54 minutes
SCAM - Brouillon d'un rêve
Les Poissons Volants
Quelques images, quelques mots suffisent à Amalia Escriva pour inverser le bonheur excessif d’une pléthore d’images de vacances d’hier, d’aujourd’hui, voire de demain, ternir la prospérité flamboyante d’une maison – comme un écart anodin dans l’immuable suffit à Barbey d’Aurevilly pour glisser le crime dans le bonheur. Yann Lardeau